Chaque année en octobre, la campagne de lutte contre le cancer du sein sensibilise autour du dépistage précoce et recueille des fonds pour la recherche contre la maladie.
Octobre rose, la campagne de prévention
Le mois d’octobre est traditionnellement consacré à la prévention du cancer du sein et à la sensibilisation des femmes au dépistage précoce.
Instaurée en 1985, Octobre Rose est une campagne annuelle destinée à sensibiliser, au dépistage du cancer du sein et à récolter des fonds pour la recherche. C’est également une période qui met un coup de projecteur sur l’information et la prévention, tout en offrant un soutien aux personnes touchées par la maladie.
La campagne Octobre Rose mobilise des associations et des professionnels de santé autour du dépistage de la maladie en organisant des ateliers, des conférences mais également des marches et des courses comme par exemple : la marche rose, Race for the Cure, Walk for Think Pink Camino 2021, AG Antwerp Short Run & 10 miles, Athora Great Bruges Marathon 2021.
L’homéopathie, un soin de support de santé
Parce qu’un cancer vous met à plat, peut atteindre au-delà de votre corps, il est très important d’intégrer dès le diagnostic toutes les pratiques et les thérapeutiques qui participeront à l’amélioration de la qualité de vie avant, pendant et après le traitement.
Si l’homéopathie ne soigne pas directement le cancer du sein, elle vient en complément des traitements de fond pour aider les malades à mieux supporter leur traitement en améliorant leur qualité de vie.
Très utilisée en oncologie, l’homéopathie a l’avantage d’être sans effets secondaires et sans interaction connus avec les autres traitements. Elle répond aux besoins d’accompagnement des malades tout au long du parcours de soins, que ce soit à l’annonce du diagnostic, durant les soins et jusqu’à l’après-cancer, sans induire d’accoutumance.
60% de patients atteints de cancer ont recours aux médecines complémentaires pour les aider à mieux supporter leur traitement(1).
1 - Legrand A. Étude de la prévalence de l’utilisation des médecines complémentaires par les patients atteints de cancer : à partir de 535 questionnaires recueillis d’avril à juin 2017 à Strasbourg. Thèse de médecine 2018.